Voici le lien pour la réunion : https://www.youtube.com/watch?v=MC7mXpBtavY
Depuis maintenant 3 ans, le Comité consultatif du Centre de santé communautaire du Haut-Madawaska travaille avec divers partenaires afin d’offrir des services de soins de santé primaires constants à sa population. Avec la pandémie et ses exigences sanitaires, en plus des besoins hospitaliers fluctuants, ceci s’avère un défi. Il arrive parfois que des rendez-vous doivent être annulés ou reportés, que les appels ne soient pas répondus et/ou que les portes soient verrouillées.
Parfois, nous ne connaissons pas la raison. Mais souvent, la pandémie est en cause. Les infirmières, infirmières praticiennes et leurs adjointes administratives sont des employées du Réseau de Santé Vitalité et doivent suivre les consignes sanitaires de leur employeur. Il est possible aussi que ces employées soient temporairement assignées à l’hôpital ou ailleurs afin d’appuyer les efforts pour combattre la pandémie et ses ravages.
Afin de renseigner la population dans les plus brefs délais lorsque ces ruptures de services se produisent, le Comité consultatif veut établir avec le Réseau de santé Vitalité, un protocole de communication (accord de fonctionnement). Nous avons confiance d’y arriver bientôt.
Il est normal d’être frustrés ou mécontents quand les ruptures de service se produisent. Si cela vous arrive, nous vous invitons à faire une plainte directement au Réseau de santé Vitalité en composant le 506-739-2221. Ce geste appuiera les efforts du Comité consultatif à faire avancer ce dossier.
Nous vous prions aussi de ne pas porter plainte à la pharmacie Éric Lee. La pharmacie est une entreprise privée et n’est pas informée de la raison des ruptures de service. Les employés ne peuvent donc pas parler au nom du Réseau de santé Vitalité NI celui des médecins et ne peuvent donc pas vous répondre ni vous venir en aide.
À noter aussi que les médecins qui ont des bureaux au Centre de santé communautaire du Haut-Madawaska, ne sont pas des employés du Réseau de santé Vitalité. Ce sont eux qui déterminent leurs heures de bureau selon leurs disponibilités, étant donné qu’ils doivent aussi assumer des responsabilités à l’hôpital.
Le Comité consultatif travaille avec toutes les personnes impliquées pour que les services de santé offerts au Centre de santé communautaire répondent vraiment aux besoins de notre population.
Le Comité consultatif vous remercie à l’avance pour votre appui dans ce dossier.
1. Les deux ministères fédéraux sont responsables des communications avec les Premières Nations Autochtones impliquées dans le processus de consultations. Ces dernières exigent la présence d’un archéologue ou d’un technicien en archéologie sur les lieux pendant le forage des quatre puits exploratoires.
2. Il faudra coordonner la présence d’Akifer (la firme d’hydrogéologie), de l’archéologue de la province (gratuit pour cette étape), du ou des responsables Autochtones, ainsi que la demande pour le permis de travail. Quand tous ces éléments auront été coordonnés, les travaux exploratoires de la firme d’hydrogéologie pourront débuter.
3. La période de l’année pendant laquelle les quatre puits exploratoires seront forés aura une incidence sur la suite des événements. S’ils sont forés pendant la période de fonte des neiges, les résultats d’analyse pourraient être erronés puisque la nappe phréatique est à un niveau plus élevé que la normale. Si les puits sont forés avant le dégel, soit avant la période de fonte, il y a des chances que l’analyse puisse être faite pendant cette période.
4. Une firme d’archéologie devra aussi être retenue pour faire une étude d’impact en archéologie (EIA). Cette étape relève entièrement de la Communauté de Haut-Madawaska. Elle est une exigence du gouvernement provincial. Les démarches sont entamées afin de trouver une firme, ainsi que déterminer les coûts engendrés par cette étude.
5. Lorsque l’étude sera complétée, les travaux d’excavation pourront débuter. Soyons optimistes en espérant que les quatre puits exploratoires qui seront forés seront en mesure de nous fournir une quantité suffisante et acceptable d’eau. Pendant cette étape, l’archéologue sera sur place afin d’examiner le site de tout ce qui pourrait témoigner de la présence d’artéfacts archéologiques appartenant aux Premières Nations Autochtones. Si l’archéologue ne trouve rien, le projet avance sans retard. Si l’archéologue trouve un artéfact, la durée du projet est allongée pour une période inconnue.
6. Lorsque nous saurons lesquels des puits exploratoires seront transférés en puits permanents, le branchement et la construction de la station de pompage pourront à leur tour aller d’avant.
7. La toute dernière étape est d’avoir la confirmation du ministère de l’Environnement pour ouvrir la valve et pomper l’eau dans le système d’eau potable du Quartier Saint-Hilaire.
Faisant suite aux discussions que nous avons eues avec les différents ministères, autant provincial que fédéral, il ne faut pas s’attendre à ce que le projet soit terminé dans les douze mois suivant le début des travaux. C’est triste, mais il faut quand même être réaliste.
Chers citoyens et chères citoyennes du Quartier Saint-Hilaire, soyez assurés.ées que lorsque d’autres informations seront disponibles, elles vous seront communiquées. Sachez que le dossier de l’eau potable demeure prioritaire pour le Conseil et la direction de la Communauté de Haut-Madawaska.
Nous vous remercions pour votre compréhension.
La direction.